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Eclairage public : la mise aux normes tend à sa fin, enfin !


Comme beaucoup de communes, Bénévent l’Abbaye disposait d’un éclairage public désuet, essentiellement aux vapeurs de mercure, procédé désormais interdit et pour lequel on ne trouvera plus d’ampoules sur le marché.

Le conseil municipal avait décidé de le rénover par tranches, en installant des lampes Led ou sodium. Le réseau a même été enfoui dans la totalité du centre-bourg, d’abord la rue Pellisson-Fontanier et La Chabanne, puis le Monthléry et les rues des Sagnes et des Grands Jardins, enfin en 2016 le village du Petit Murat et les rues de la Marche et Sarrazine. En 2015, toutes les lampes des autres villages avaient été remplacées.

La tranche 2017 devrait être réalisée à partir du 15 novembre, ce qui explique qu’il n’a pas été pourvu au dépannage ces dernières semaines, ce que la population a très bien compris. D’un coût de plus de 85 000 euros, elle est particulièrement importante : la rue Jabely, l’avenue du Général de Gaulle, l’avenue du Limousin (jusqu’à la zone artisanale), la route d’Azat, la rue des Rosiers et le lotissement, les rues Gaston Brun et René Margot, la route de Mourioux et Les Tours, la route des Croix.

Il en sera définitivement terminé en 2018 après l’enfouissement des réseaux rue Auguste Faure et du Puy du Gaud (entre Le Monthléry et l’ancienne gendarmerie) que le Syndicat départemental des Energies a inscrit à son programme.

La commune a bénéficié de la technicité des agents du SDEC qui a assuré la maîtrise d’ouvrage des travaux dans le cadre d’une convention de mandat. C’est l’entreprise Vigilec-Lestrade de Dun- le-Palestel qui a été attributaire de chacun des lots.

Les normes imposées par l’Etat coûtent en général très cher et c’était bien le cas ; mais ces travaux n’auraient pas été possibles sans son intervention au titre de la DETR (Dotation d’Equipement des Territoires Ruraux), accordée sur chacune des tranches à hauteur de 35% pour les équipements d’éclairage alors que le SDEC a pris à sa charge la totalité des travaux de réseaux et accordé une subvention complémentaire à celle de l’Etat de 30% sur l’éclairage.

Une conclusion s’impose : ce qui est fait n’est plus à faire !

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